martes, 10 de diciembre de 2024

Tertulia Diciembre 2024

Centro Social Seco

En 1990 el Kolektivo Adelfas Joven (KAJ), vinculado a la Asociación Vecinal Los Pinos de Retiro Sur, okupó el Colegio Juventud, en el que muchos de ellos habían estudiado, para construir el espacio cultural que el Ayuntamiento de Madrid se negaba a construir en el sur del distrito de Retiro. Nacía así el Centro Social Seco, que tomó su nombre de la calle en la que se ubicaba. El propietario del inmueble accedió a no denunciar la okupación siempre y cuando el espacio de destinara a organizar actividades culturales.

En sus primeros años fue sede de la distribuidora alternativa Gato Salvaje. Contó con una biblioteca de acceso libre y gratuito (La Biblio), que posteriormente se trasladó al Centro Social David Castilla. En sus años de vida, el centro social organizó charlas informativas, sesiones informativas, conciertos, videofórums y... el Festival de Cine Social de las Californias, uno de los primeros festivales de este género en España que contó, entre otros, con la presencia y participación de Fernando León de Aranoa, Javier Corcuera, Icíar Bolliaín, Elena Taberna, Imanol Uribe, Ángeles González Sinde, Diego Galán, Paul Laverty...

Imagen de la Red

En los '90s, Las Californias, que era como llamaban los vecinos a esa zona del barrio, sufrió una notable degradación como consecuencia de la paralización, por parte del Ayuntamiento de Madrid, del Plan Especial de Remodelación Interna (API) 03.05.

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Cartel

La Tertulia de Mayores se reúne por primera vez en el Centro Social Seco, amadrinada por la AC Hacenderas. Por lo que su tema de entrada será: Centros Sociales Autogestionados. A partir de ahí, la Tertulia acordará el resto de temas allí mismo.

Mapa

3 comentarios:

  1. Increvable et universel
    Dix ans après, Charlie Hebdo est toujours là. Les causes du drame aussi. Ainsi que la détermination des membres du journal. La situation géopolitique a évolué, s’est même aggravée. Des régimes autoritaires comme la Russie ou la Chine ne cachent plus leurs ambitions de combattre les valeurs démocratiques avec le même fanatisme que des organisations terroristes islamistes comme Daech ou al-Qaida. La démocratie est une idée qui semble de plus en plus contestée par des forces hostiles de plus en plus actives.

    Qu’est-ce qu’un hebdomadaire pouvait espérer faire, à son modeste niveau, pour combattre ces forces hostiles ? D’abord survivre. Au lendemain de l’attentat, nous nous sommes ¬retrouvés au pied du mur : du statut de commentateur de l’actua¬lité, Charlie Hebdo est brutalement passé à celui d’acteur politique. Si Charlie s’effondrait et disparaissait, les terroristes gagnaient. Si Charlie réussissait à se relever, les terroristes échouaient. Continuer le journal, c’était prouver que les idées pour lesquelles nous nous battions depuis des années, au moyen de textes et de dessins, n’avaient pas été que du bavardage, mais l’expression de nos convictions profondes. L’attentat fut un moment de vérité qui allait mettre à l’épreuve la solidité de nos idées, et ce malgré les souffrances et la difficulté de devoir reconstruire une rédaction toujours ciblée par des menaces et dénigrée par les critiques. Parce qu’une idée, c’est du réel, du vécu, pas seulement des belles paroles qu’on déclame ou qu’on gribouille dans un édito.

    Ce qui nous a réconfortés durant ces dix années, ce sont les gens que nous croisions, en France ou à l’étranger, qui nous disaient : « Heureusement que vous êtes là. » On leur répondait : « Heureusement que vous êtes là, vous aussi. » En dix ans, ¬Charlie Hebdo est devenu bien plus qu’un journal. Il suffit de...


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    1. Supongo que refieres a este artículo.
      https://charliehebdo.fr/2025/01/societe/increvable-et-universel/

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  2. Editado por Albert Blanch

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